Travailler, un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre écrit par Ploum, Lionel Dricot, ingénieur, écrivain de science-fiction, développeur de logiciels libres.
Je ne suis pas certain qu’il y ait énormément de bullshit jobs. On en parle beaucoup, mais on critique aussi beaucoup le travail des autres sans vraiment savoir en quoi il consiste.
La théorie “bullshit jobs” est controversée. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Par exemple l’auteur dénonce une liste finie de postes : les « larbins » ou « faire-valoir », servant à mettre en valeur la hiérarchie ou la clientèle ;
Ok peut-être.
les « porte-flingue » ou « sbires », recrutés car les concurrents emploient déjà quelqu’un à ce poste, et dont le travail a une dimension agressive ;
C’est une classification négative de “chargé de mission” qui a pour objectif d’améliorer un fonctionnement de l’entreprise.
les « rafistoleurs » ou « sparadraps », employés pour résoudre des problèmes qui auraient pu être évités ;
Parce que c’est super simple, il suffit d’éviter tous les problèmes…
les « cocheurs de cases », recrutés pour permettre à une organisation de prétendre qu’elle traite un problème qu’elle n’a aucune intention de résoudre ;
Des chargés de mission qui sont nuls.
les « petits chefs » ou « contremaîtres », surveillant des personnes travaillant déjà de façon autonome
Des petits chefs qui sont nuls. Les bons chefs sont des intermédiaires qui font écran dans les deux sens. Ils empêchent les perturbations de descendre vers ceux qui font.
Celui qui a lancé le concept de bullshit jobs est juste quelqu’un d’aigri. Et personne ne l’a lu. Tout le monde s’est approprié le terme pour y transposer sa haine du travail des autres.
Je ne suis pas d’accord. Pendant plusieurs années, j’ai fait un bullshit job qui aurait pu être fait par une machine. Ou par des tutoriels vidéos bien spécifiques.
Mais non, fallait justifier mon poste et mon absence de prime informatique
Et je me demande si ça ne va pas être pareil dans ma future boîte, qui est une partie du millefeuille administratif.
J’ai mis du temps à l’accepter, puis j’ai réalisé que ça me permettait d’être (mal) payé pour un temps plein, alors que
@Sphks@joelthelion ça représente au mieux un 70%.
J’ai pu me permettre d’être moins fatiguée le soir, et de gérer la maison et l’administratif domestique sur mon temps de travail
Je ne suis pas certain qu’il y ait énormément de bullshit jobs. On en parle beaucoup, mais on critique aussi beaucoup le travail des autres sans vraiment savoir en quoi il consiste. La théorie “bullshit jobs” est controversée. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs
Par exemple l’auteur dénonce une liste finie de postes :
les « larbins » ou « faire-valoir », servant à mettre en valeur la hiérarchie ou la clientèle ;
Ok peut-être.
les « porte-flingue » ou « sbires », recrutés car les concurrents emploient déjà quelqu’un à ce poste, et dont le travail a une dimension agressive ;
C’est une classification négative de “chargé de mission” qui a pour objectif d’améliorer un fonctionnement de l’entreprise.
les « rafistoleurs » ou « sparadraps », employés pour résoudre des problèmes qui auraient pu être évités ;
Parce que c’est super simple, il suffit d’éviter tous les problèmes…
les « cocheurs de cases », recrutés pour permettre à une organisation de prétendre qu’elle traite un problème qu’elle n’a aucune intention de résoudre ;
Des chargés de mission qui sont nuls.
les « petits chefs » ou « contremaîtres », surveillant des personnes travaillant déjà de façon autonome
Des petits chefs qui sont nuls. Les bons chefs sont des intermédiaires qui font écran dans les deux sens. Ils empêchent les perturbations de descendre vers ceux qui font.
Celui qui a lancé le concept de bullshit jobs est juste quelqu’un d’aigri. Et personne ne l’a lu. Tout le monde s’est approprié le terme pour y transposer sa haine du travail des autres.
@Sphks @joelthelion
Je ne suis pas d’accord. Pendant plusieurs années, j’ai fait un bullshit job qui aurait pu être fait par une machine. Ou par des tutoriels vidéos bien spécifiques.
Mais non, fallait justifier mon poste et mon absence de prime informatique
Et je me demande si ça ne va pas être pareil dans ma future boîte, qui est une partie du millefeuille administratif.
J’ai mis du temps à l’accepter, puis j’ai réalisé que ça me permettait d’être (mal) payé pour un temps plein, alors que
@Sphks @joelthelion ça représente au mieux un 70%.
J’ai pu me permettre d’être moins fatiguée le soir, et de gérer la maison et l’administratif domestique sur mon temps de travail
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