Oui, c’est un peu le pendant estival des cagoules en laine.

Oui, je fais de la voile et le spot sur le lac où j’avais mes cours gamine s’était retrouvé envahi de méduses une année. Et elles ont ensuite proliférées. C’était habituel que quand je ramenais mon bateau là où mon père le chargeait sur la remorque pour repartir, il y ait des méduses écrasées sur le goudron la où les bateaux avaient glissé dans l’eau. Du coup, j’étais plutôt contente de les avoir.

En plus de la sensation gé-ni-ale de porter des chaussures sous l’eau, on a la possibilité de suer dans du plastique en dehors, ou de ramener un demi kilo de sable depuis la plage.
C’était juste bien pour aller dans les coins rocheux en bord de mer, donc très limité comme usage.

Oh, des crocs préhistorique !

On appelait ça des méduses.

Mes parents avaient peur qu’on pose les pieds sur un cone et nous faisaient porter ces chaussures. J’ai tout de suite le souvenir du coquillage en tête en voyant la chaussure !

Oui en un peu moins transparente mais moi je les aimais énormément.

Oui, ma mère étant une fanne inconditionnelle de la baignade sur des spots connus uniquement des locaux (ie : elle et les naturistes mal vus du reste de la population), il n’y avait donc que des rochers coupants pleins d’oursins. J’en ai donc porté et reporté chaque année, sur mes réclamations.

Hasard ou coincidence, j’ai pas remis les pieds sur une plage depuis ma majorité et je n’en ressens pas le besoin.

J’avais oublié ces horreurs, un peu plus grand c’était les vielles converses pour nager en rivière, au moins un truc adapté