• Magical_Spark@jlai.lu
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    9 months ago

    Dans mon cas oui. Jamais vraiment aimée le fait d’être notée dessus d’une part, et de l’autre, jamais vraiment aimée l’image du stéréotype sportif bien costaud et similaire qu’on pouvait avoir il y a une vingtaine d’années sur la télévision, et que petite moi pensait “oh non, je veux pas devenir ainsi”.

    • Camus [il/lui]@lemmy.ca
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      9 months ago

      sportif bien costaud

      Ca rappelle Groscostaud de Pipoudou pour ceux qui connaissent (pour ceux qui ne connaissent pas, avertissement, c’est de l’humour très adulte malgré le design enfantin)

      Edit: apparemment c’est Peepoodoo, pour ceux que ça intéresse

  • ZigguratOP
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    9 months ago

    L’endurance et l’escalade me sauvait, mais les sport co quelle horreur. J’ai plus joué au Volley depuis le lycée et j’ai aucune envie d’essayer.

    J’aimais bien comment c’était fait à la fac, tu choisis un sport parmi des dizaines (j’ai fait du trampo) et si tu es présent tu as des points bonus qui peuvent te sauver la mention ou ton année.

    • faercol@lemmy.blahaj.zone
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      9 months ago

      En supérieur c’était pareil, on avait soit quelques sports organisés par l’école (du bonus), soit on pouvait avoir les mêmes points en participant à un sport à l’extérieur. Du coup j’ai fait 1 an de tir à l’arc et c’était trop cool.

      Le sport au lycée par contre… Yeah on en parlera pas

      • mel@jlai.lu
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        9 months ago

        Dans le superieur pour moi c’était un retour aux méthodes du lycée et si les profs femmes ont été plus sympathiques et magnanime dans leurs notations (merci l’asthme), bah pour du basket je me suis fait saquer parce qu’enchainer 3 matchs bah j’étais cuit à la fin

  • BestBouclettes@jlai.lu
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    9
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    9 months ago

    Perso l’EPS était un calvaire sans fin. Profs méprisants, vestiaires sans cabine (alors que j’étais le petit gros complexé), activités pas intéressantes (sports collectifs ou athlétisme), le fait d’être noté sur tes temps/perfs, aucun côté ludique. Ça m’a dégouté du sport jusqu’à mes 26 ans, jusqu’à ce que j’apprenne à le redécouvrir à mon rythme et avec des trucs marrants et intéressants.

  • Snoopy@jlai.lu
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    9 months ago

    Oui. J’ai toujours detesté les notes et la compétitions.

    N’étant pas dans les clous, quand on devait faire du rugby, on m’a mis dans le groupe fille. Ce fut ma plus belle expérience du rugby merci à cette prof géniale. :3

    Pas de contact frontal, pas de renversement brutal, juste un ballon qui circulait. Voilà, de la douceur et le plaisir de jouer.

    Après pour les clubs, j’ai arreté à 13-14 ans car j’aimais pas l’ambiance, ni les tournois, ni le classement, ni les médailles. Depuis, mon seul sport restera le vélo. C’était devenu toxique et je me sentais mal.

  • Sphks@lemmy.dbzer0.com
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    9 months ago

    J’allais répondre à la question - mais il faut lire l’article.
    L’EPS fût vraisemblablement responsable du dégoût pour le sport. Soit ! Mais ils en sont conscient et font des efforts pour rendre ça plus ludique.

    • ZigguratOP
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      9 months ago

      Ces gens qui disent l’article avant de commenter. Ça tue tous le sel des discussions à côté de la plaque. Tout se perd

      /s

  • ViscloReader@lemmy.world
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    9 months ago

    Pour ma part j’aimais bien l’EPS dans mon coin, mais j’étais plutôt bien disposé. Je faisais déjà du sport en extra scolaire et notre lycée proposait des sports plus individuels (moins de dépendence sur ta réputation dans ta classe).

    Ça n’empêche que je voyais bien les autres galérer énormément.

    • Plus de la moitié n’arrivais pas à faire les exercices sans s’effondrer.
    • Les filles n’étaient jamais prises au sérieux, les garçons avaient des barèmes impossibles à atteindre.
    • Beaucoup de personnes se faisait dispenser volontairement par peur de la matière.
    • Les vestiaires était TOUJOURS sources de brimades pour les plus faibles.
    • Les sports collectifs faisaient dépendres tes notes à ta réputation (ou non-reputation)
    • un trop gros point d’honneur à la compétition : Dans une compétition, il y a forcément un perdant. Si on base nos notes sur ceci, alors par définition seulement la moitié d’une classe aura des bonnes notes