Le sociologue, qui décrit dans ses livres le lent basculement du vote communiste des ouvriers vers un vote d’extrême droite depuis les années 90, analyse pour «Libération» le «nouvel espoir» suscité par l’alliance de la gauche.
Je me suis toujours demande pourquoi il n’y avait pas de force nationaliste de gauche, ne serait-ce que par clientélisme électoral. Ça viserait les fâché pas fasco mais plus ou raciste/xénophobes quand même. Et ça emmerderait le front national, a défaut d’être un truc de jeune qui salut ses frères.
Du souverainisme de gauche ça existe, mais la matrice historique de la gauche que ce soit le communisme ou le socialisme : c’est l’internationalisme. On a oublié aujourd’hui que les forces politiques de gauche contemporaines sont principalement issues de la Première internationale (aka l’association internationale des travailleurs, AIT) et de la Deuxième internationale (internationale ouvrière, avec naissance du réformisme).
Je me suis toujours demande pourquoi il n’y avait pas de force nationaliste de gauche, ne serait-ce que par clientélisme électoral. Ça viserait les fâché pas fasco mais plus ou raciste/xénophobes quand même. Et ça emmerderait le front national, a défaut d’être un truc de jeune qui salut ses frères.
Du souverainisme de gauche ça existe, mais la matrice historique de la gauche que ce soit le communisme ou le socialisme : c’est l’internationalisme. On a oublié aujourd’hui que les forces politiques de gauche contemporaines sont principalement issues de la Première internationale (aka l’association internationale des travailleurs, AIT) et de la Deuxième internationale (internationale ouvrière, avec naissance du réformisme).