M. Breton a affirmé que la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, avait « demandé à la France de retirer [s]on nom ». Dans la foulée, l’Elysée a proposé celui du ministre des affaires étrangères démissionnaire, suscitant de vives critiques à gauche et à l’extrême droite.
Il veut retourner pantoufler chez Atos ? Ou va-t-il lancer une startup basée sur un vaporware ?