Le livre commence par la fin : son départ de Matignon, le 9 janvier, alors qu’elle vient de faire voter avec succès la loi sur l’immigration. « Le pire est derrière moi », croit Elisabeth Borne, fin 2023, persuadée qu’elle poursuivra sa « mission » jusqu’aux élections européennes de juin. Le 31 décembre, lors de ses vœux télévisés, Emmanuel Macron « remercie » sa première ministre. Une attention inhabituelle qui inquiète l’intéressée, plutôt que de la rassurer.

Difficile de contenir mon indifférence.

  • leftascenter@jlai.lu
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    3
    ·
    edit-2
    1 month ago

    Si les prolos français étaient moins cons réfractaires au changement ils verraient la valeur éclairé de ma personne la proposition du gouvernement.