CHRONIQUE. Ce petit secteur de l’agro-industrie est en difficulté, pour preuve le placement en procédure de sauvegarde d’Ynsect, un temps symbole de l’innovation française. Son concurrent Innovafeed essaye, lui, de trouver son salut dans les rations protéinées destinées aux animaux, observe Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».

L’article est en paywall. Après un paragraphe sur la situation financière d’Innovafeed, il est écrir ceci.

Le cofondateur d’Innovafeed évoque un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros en 2024. Bien loin de l’objectif fixé lors du lancement du projet. L’enjeu est d’arriver à imposer la protéine d’insecte dans les rations destinées aux poissons et crustacés d’élevage, ou dans les gamelles des chiens et des chats, clients très délicats. Le jeu n’est pas encore gagné. Quant à la perspective de la glisser dans l’assiette du consommateur, elle s’est singulièrement éloignée.

Honnetement, je trouve ca dommage, je ne connais pas le ratio protéine/Co2 mais il doit être largement inféreur à celui de la viande. De quoi faire baissé le bilan carbone des poissons d’élevage et de l’alimentation de nos amis à 4 pattes.

J’ai déjà gouté des insectes de manière apéritive, je ne trouve pas ca mauvais personnellement. Ca apporte un peu de croustillant à une salade.

  • felykiosaFrançais
    2·
    2 days ago

    Peu être que ça a un bon rapport protéine/co2 par rapport a la viande classique mais par rapport au plante je sais pas si c’est mieux