La vidéo de la “préparation d’explosifs” du “camp d’entraînement paramilitaire” selon la DGSI :
Ils ont aussi utilisé un meme qui circulait sur Twitter comme preuve d’un supposé plan pour une attaque armée sur Paris.
Un détournement d’un plan de la préf en forme de bite présenté par Lallement, voici l’objet de la conspiration :
Annexes
Contacté, l’état-major de l’armée de terre nous répond :
« Dans le cas où le caporal Konofal n’exprime pas explicitement des convictions néo-nazies, il n’enfreint pas son devoir de réserve. Il n’était donc pas sanctionnable.
Le ministère des armées est en permanence et depuis longtemps, extrêmement attentif aux phénomènes de radicalisation, même s’il n’est touché que de manière très limitée. Quand de tels cas (qui relèvent de la dérive individuelle) sont soupçonnés, des enquêtes sont diligentées. Suite à ces enquêtes, lorsqu’il est avéré que le comportement d’un militaire ou d’un agent est incompatible avec le métier des armes et qu’il fait peser une menace sur les autres, l’autorité peut mettre en œuvre des sanctions selon une logique de gradation allant de la révision de l’habilitation de l’intéressé jusqu’à sa radiation.
Pour le reste, une enquête est en cours et nous ne pouvons pas nous prononcer afin de ne pas interférer dans une affaire qui relève désormais de la justice. »