1 train pour 20 000 camions sur les routes chaque année. Le rapport de force semble inespéré dans la course à la réduction du CO2. Pourtant, le train des primeurs est à l’arrêt.
La conclusion de l’article est un peu étrange : “Une chose est sûre : le train des primeurs restera une préoccupation des passionnés du rail.” Pourtant l’article exprime bien dans ses premières lignes l’absurdité générale de la situation. Je trouve que cette conclusion ramène la chose à une anecdote pour geek.
C’est une préoccupation pour très peu de monde même si le propos est un peu mal amené. Les centaines de milliards brûlés pour faire toujours plus de routes pour les camions sans avoir les moyens de les garder en bon état ne suffisent plus mais l’obstination continue, le choix par défaut sera le tout routier pour longtemps encore, mais ça n’inquiète pas grand monde. La blague c’est que le fret ferroviaire est beaucoup moins cher mais quand c’est le contribuable qui paie l’infrastructure pour les transporteurs de toute l’Europe et au-delà, le changement ne va pas s’opérer par magie.
C’est bien triste.
La conclusion de l’article est un peu étrange : “Une chose est sûre : le train des primeurs restera une préoccupation des passionnés du rail.” Pourtant l’article exprime bien dans ses premières lignes l’absurdité générale de la situation. Je trouve que cette conclusion ramène la chose à une anecdote pour geek.
C’est une préoccupation pour très peu de monde même si le propos est un peu mal amené. Les centaines de milliards brûlés pour faire toujours plus de routes pour les camions sans avoir les moyens de les garder en bon état ne suffisent plus mais l’obstination continue, le choix par défaut sera le tout routier pour longtemps encore, mais ça n’inquiète pas grand monde. La blague c’est que le fret ferroviaire est beaucoup moins cher mais quand c’est le contribuable qui paie l’infrastructure pour les transporteurs de toute l’Europe et au-delà, le changement ne va pas s’opérer par magie.