Je ne connais pas la situation Française, mais au Québec ça gagne en popularité entre autre pour éliminer des jugements qui peuvent être faits envers les élèves qui viennent de familles moins fortunées et ça évite d’avoir à faire de la discipline auprès d’élèves qui ne respectent pas certains codes vestimentaires (exemple: pas de chandail qui laisse voir le nombril).
C’est connu que les uniforme ça marche bien pour gommer la classe sociale… d’ailleurs grâce à cette politique au Royaume-Uni, ce c’est pas du tout un thème de fond permanent dans Harry Potter. /s
La classe sociale ce n’est qu’une excuse moisie et sans fondement. Une idée colportée par des vieux qui n’ont jamais été jeunes ou pauvres. La deuxième partie de l’argument est plus proche de la réalité : si on fait porter un uniforme aux gamins ça rend bien sur les photos de classe et on ne doit surtout pas se soucier de changements de mœurs (qui sont la menace pesant sur les vieux réacs depuis Platon au moins).
On gomme l’individualité des enfants pour la santé mentales de leurs vieux réacs, le reste n’est qu’un argumentaire ad-hoc auquel personne ne croit réellement.
Non mais laisse tomber, ici on sait tout mieux que tout le monde sans jamais être allé voir ailleurs. D’ailleurs t’inquiète pas, dès qu’on débarque chez toi on s’explique pourquoi t’as rien compris, avec le petit ton méprisant en plus, c’est cadeau!
L’uniforme proposé en France ici est pas payé par les familles. C’est un mix moitié Etat, moitié département. (Je ne suis plus exactement sure si c’était le département).
Il y a de plus en plus de famille qui achète des vêtements de marques extrêmement chère a leur gamin alors qu’ils ont pas les moyens a cause de la pression sociale, donc ça sera ça de moins aussi.
C’est pas l’urgence dans l’éducation en France, mais je trouve que c’est quelque chose de positif.
Ce n’est pas comme si les familles n’ont pas à acheter de vêtements à leurs enfants à chaque année, mais avec un uniforme au moins la qualité est la même pour tous les enfants, donc je ne comprends pas l’argument comme quoi “ce sont les familles qui paieront”.
Moins d’usure sur les vêtements de tous les jours donc ils durent plus longtemps donc pas besoin d’en acheter autant, au final ça aide les enfants à l’école et ça n’a pas vraiment d’impact en dehors.
Ce qui est drôle de la comparaison avec le privé que tu as fais c’est qu’au privé les uniformes c’est la norme depuis bien plus longtemps (ici du moins).
Si tu crois qu’il y a seulement les enfants de bourgeois qui se moquent des enfants plus pauvres c’est que tu devais être un bourgeois :)
Comme je disais au début, je me fie à mon expérience au Québec et ici les uniformes c’est le standard au privé depuis toujours (avant le niveau universitaire), c’est les écoles publiques qui laissaient les jeunes porter ce qu’ils voulaient ou presque.
Je ne connais pas la situation Française, mais au Québec ça gagne en popularité entre autre pour éliminer des jugements qui peuvent être faits envers les élèves qui viennent de familles moins fortunées et ça évite d’avoir à faire de la discipline auprès d’élèves qui ne respectent pas certains codes vestimentaires (exemple: pas de chandail qui laisse voir le nombril).
C’est connu que les uniforme ça marche bien pour gommer la classe sociale… d’ailleurs grâce à cette politique au Royaume-Uni, ce c’est pas du tout un thème de fond permanent dans Harry Potter. /s
La classe sociale ce n’est qu’une excuse moisie et sans fondement. Une idée colportée par des vieux qui n’ont jamais été jeunes ou pauvres. La deuxième partie de l’argument est plus proche de la réalité : si on fait porter un uniforme aux gamins ça rend bien sur les photos de classe et on ne doit surtout pas se soucier de changements de mœurs (qui sont la menace pesant sur les vieux réacs depuis Platon au moins).
On gomme l’individualité des enfants pour la santé mentales de leurs vieux réacs, le reste n’est qu’un argumentaire ad-hoc auquel personne ne croit réellement.
On a vu des améliorations au Québec et les parents disent qu’ils sauvent de l’argent, mais bon, vous faites ce que vous voulez, c’est votre pays!
Non mais laisse tomber, ici on sait tout mieux que tout le monde sans jamais être allé voir ailleurs. D’ailleurs t’inquiète pas, dès qu’on débarque chez toi on s’explique pourquoi t’as rien compris, avec le petit ton méprisant en plus, c’est cadeau!
Pourquoi pas… après ce sont les familles qui paieront. Et les bourgeois restent entre eux dans les écoles privées. C’est un faux problème.
L’uniforme proposé en France ici est pas payé par les familles. C’est un mix moitié Etat, moitié département. (Je ne suis plus exactement sure si c’était le département).
Il y a de plus en plus de famille qui achète des vêtements de marques extrêmement chère a leur gamin alors qu’ils ont pas les moyens a cause de la pression sociale, donc ça sera ça de moins aussi.
C’est pas l’urgence dans l’éducation en France, mais je trouve que c’est quelque chose de positif.
Ce n’est pas comme si les familles n’ont pas à acheter de vêtements à leurs enfants à chaque année, mais avec un uniforme au moins la qualité est la même pour tous les enfants, donc je ne comprends pas l’argument comme quoi “ce sont les familles qui paieront”.
Est-ce que t’as envie de te balader en uniforme dans la rue le weekend?
Moins d’usure sur les vêtements de tous les jours donc ils durent plus longtemps donc pas besoin d’en acheter autant, au final ça aide les enfants à l’école et ça n’a pas vraiment d’impact en dehors.
Ce qui est drôle de la comparaison avec le privé que tu as fais c’est qu’au privé les uniformes c’est la norme depuis bien plus longtemps (ici du moins).
Si tu crois qu’il y a seulement les enfants de bourgeois qui se moquent des enfants plus pauvres c’est que tu devais être un bourgeois :)
Bof, je vivais dans un petit village de 2500 habitants, plutôt classe moyenne, genre ça va…
Tu parles d’écoles privées genre Stanislas?
Comme je disais au début, je me fie à mon expérience au Québec et ici les uniformes c’est le standard au privé depuis toujours (avant le niveau universitaire), c’est les écoles publiques qui laissaient les jeunes porter ce qu’ils voulaient ou presque.