Le maire de Dijon et ancien ministre socialiste dénonce "l'alliance avec l'extrême gauche qui est en train de se préparer, anti-européenne, ambiguë sur l'Ukraine, anti-nucléaire".
La SFIO faisait partie de la Seconde Internationale, qui avait dans ses lignes le fait de s’opposer à toutes les guerres entre les nations. Donc déjà tous les membres de la SFIO qui ne se sont pas opposés à la 1ère Guerre Mondiale étaient un peu des traîtres.
Ensuite, en 1920, la majorité vote pour adhérer à la 3ème internationale. Du même coup, la SFIO se renomme “Parti Communiste Français”. Mais certains n’acceptent pas ce résultat et décident de scissionner. Ils reprennent le vieux nom de SFIO, qui se renommera ensuite “Parti Socialiste”.
Marx disait “Toutes les choses de l’histoire arrivent deux fois, la première comme une tragédie, la seconde comme une farce.”
La farce a eu lieu en 2017 avec la primaire de gauche.
Hamon l’emporte, mais ni Valls ni Hollande ne le soutiennent, et beaucoup partent rejoindre Macron.
Les scissions sont communes dans les mouvements de gauche. Le mot d’ordre qui sert à éviter ça, c’est “Diversité dans les pensées, unité dans l’action”. Une fois que la ligne a été votée, on doit la suivre, même si on n’est pas d’accord sur tous les points. La création du PS vient du non-respect de cette règle, son éclatement aussi.
La SFIO faisait partie de la Seconde Internationale, qui avait dans ses lignes le fait de s’opposer à toutes les guerres entre les nations. Donc déjà tous les membres de la SFIO qui ne se sont pas opposés à la 1ère Guerre Mondiale étaient un peu des traîtres.
Ensuite, en 1920, la majorité vote pour adhérer à la 3ème internationale. Du même coup, la SFIO se renomme “Parti Communiste Français”. Mais certains n’acceptent pas ce résultat et décident de scissionner. Ils reprennent le vieux nom de SFIO, qui se renommera ensuite “Parti Socialiste”.
Marx disait “Toutes les choses de l’histoire arrivent deux fois, la première comme une tragédie, la seconde comme une farce.”
La farce a eu lieu en 2017 avec la primaire de gauche.
Hamon l’emporte, mais ni Valls ni Hollande ne le soutiennent, et beaucoup partent rejoindre Macron.
Les scissions sont communes dans les mouvements de gauche. Le mot d’ordre qui sert à éviter ça, c’est “Diversité dans les pensées, unité dans l’action”. Une fois que la ligne a été votée, on doit la suivre, même si on n’est pas d’accord sur tous les points. La création du PS vient du non-respect de cette règle, son éclatement aussi.